Nexus de l’adoration

  • Conception, texte, musique, mise en scène Joris Lacoste
  • Scénographie et lumières Florian Leduc
  • Collaboration à la chorégraphie Solène Wachter
  • Collaboration musicale et sonore Léo Libanga
  • Costumes Carles Urraca
  • Interprétation et participation à l’écriture Daphné Biiga Nwanak, Camille Dagen, Flora Duverger, Jade Emmanuel, Thomas Gonzalez, Léo Libanga, Ghita Serraj, Tamar Shelef, Lucas Van Poucke
  • Son Florian Monchatre
  • Assistanat à la mise en scène Léo Libanga et Raphaël Hauser
  • Régie générale Marine Brosse
  • Stagiaire Seydou Grépinet
  • Production et diffusion Hélène Moulin-Rouxel et Colin Pitrat (Les Indépendances)
  • Administration Edwige Dousset
  • Production Déléguée Echelle 1:1
  • Production Associée La Muse en Circuit – CNCM
  • Avec le soutien de la Fondation d’entreprise Hermès, du Fonds de production (DRAC Île-de-France)
  • Coproduction Bonlieu scène nationale d’Annecy | MC93 – Maison de la Culture de Seine-Saint-Denis | Théâtre Garonne – scène européenne Toulouse | Les Célestins, Théâtre de Lyon | Festival d’Automne à Paris | Festival d’Avignon | Centre Dramatique National Orléans / Centre-Val-de-Loire | Festival Musica Strasbourg
  • Avec la participation artistique du Jeune théâtre national et du dispositif d’insertion de l’Ecole du TNB
  • Résidences Abbaye de Noirlac | La Muse en Circuit – CNCM | MAC de Créteil | CROMOT Paris | MC93 Bobigny | Bonlieu Annecy | Théâtre Garonne Toulouse
  • Remerciements Ling Zhu, Assia Turquier-Zauberman, Alan Hammoudi, Jean-Baptiste Veyret-Logerias, Pierre-Yves Macé, Augustin Parsy
  • Images générées par l’intelligence artificielle Dall-E

« Nexus de l’adoration » est un spectacle pop-liturgique qui propose de célébrer la multiplicité de nos modes d’existence et de nos expériences du monde.

« Nexus de l’adoration » imagine une nouvelle religion pour notre temps qui se donnerait pour profession de foi d’embrasser toutes les formes de vie (et de non-vie), de respecter toutes les manières d’être, de chanter, sans ordre ni hiérarchie, toutes les choses : une cigarette électronique et un amas galactique, une mitochondrie et le dernier son de Jul, un cerf dans la brume et un orgasme multiple, un triple-double de Simone Biles et une fausse moustache, une motion de censure et un grec complet sauce algérienne.

« Nexus de l’adoration » se présente comme une cérémonie musicale et queer, un grand sabbat de l’hyper-hétérogénéité où 9 officiant·e·s font s’entremêler poèmes minimalistes, discours galvanisants, refrains pop, prières matérialistes, méditations rythmiques, chorégraphies K-pop, dialogues absurdes, confidences troublantes, bruits de bouche et litanies sans fin.

En croisant les objets les plus variés et les modes de célébration, en multipliant les objets d’identification et les références, en faisant coexister des réalités distinctes voire contraires, en composant et en hybridant des rapports inattendus, « Nexus de l’adoration » tente de créer un nouveau type de commun : plutôt qu’un idéal d’universel homogène, un joyeux concert de différences et de dissonances.

Nexus de l'adoration